2004 - 2005 |
Cette surélévation me permet d’intervenir plus facilement sur le câblage électrique (une guirlande de Noël me sert d’éclairage pour le dessous de la maquette). Si c’était à refaire, je concevrais ma maquette en différents modules que je pourrais ainsi travailler assis, sur table, ce qui est beaucoup plus pratique que d’intervenir directement sur le site de la maquette (mal de dos et moins de précision). Je l’ai également changé d’orientation et la pose d’un projecteur halogène muni d’un rhéostat, a terminé cette nouvelle installation en fournissant une lumière réglable en intensité et inondant plus correctement l’ensemble du décors.
Quand je partais en vacances chez le grand-père, d’Amiens vers Cartigny, je voyageais très souvent dans un drôle d’autorail qui se pilotait « par le toit » : le Picasso. J’en ai acheté une réplique, aux enchères, sur « Ebay » pour une centaine d’euros. Je me suis documenté et le travail va être long pour transformer ce « jouet » en quelque chose qui ressemblera à la réalité de l’époque. Décembre 2004, dernier mois de l’année, mois des cadeaux… donc des nouveaux accessoires pour la maquette qui seront certainement offerts à Noël ! C’était le moment de faire le point du décors : après deux ans de travail, du Noël de départ à celui-là, constat, observations, commentaires…
Événement important de cette année : j’ai d’acheté un livre et, après l’avoir simplement feuilleté, je sens qu’il va complètement changer mon approche du décors de cette maquette… Merci d’avance, Monsieur Le Plat ! |
Évolution de l’installation |
Éclairage |
À la recherche de mon grand-père |
Initialement, j’avais posé la maquette sur des tréteaux. Or, à l’usage, ce choix s’est avéré peu adapté. En effet, travailler sur les décors, demandait de se plier en deux (!) et le spectateur n’avait pas pour sa part une vue « à l’horizontale ». J’ai donc « récupéré » les barres métalliques d’une ancienne structure d’étagères et j’ai pu remonter la maquette à hauteur du regard. |